28 août 2007
D'un petit carnet 1977 #3
*
Au matin, éveil au côté de l’idéal
Et des rêves plein les yeux ;
Soif de l’insolite, affamée de la vie.
Dans le miroir,
Le reflet de la nuit s’évanouit ;
Reste le cri au son fêlé,
Qui déchire les draps.
Café au lait, un vieux rock’n’roll,
Des jardinières en fleurs,
La porte s’ouvre à la journée.
Le soleil dans les rues
Et des dessins sur un mur,
Une palette de couleurs dans le cœur,
Je redessine Paris.
-Comme une chanson d'un jour heureux- (1977)
Publicité
Publicité
Commentaires
B